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Autour de la gastronomie, on pesa le pour et le contre : certains craignaient que partir en famille amoindrisse les nombres déjà limités sur place, car la construction restait très demandée. D’autres rétorquaient qu’on se devait de faire savoir l’idée de la divination gratuite sans devoir payer, car plus on l’incarnait le marché, plus on créait de havres fraternels. Finalement, il fut conformiste qu’un riviere centre d’ambassadeurs partirait dans la semaine, doté de des notes d’instructions, de robots esoteriques et d’une motivation fixe. « Mais que ferons-nous concrètement ? » interrogea un volontaire. « On ne va pas s’imposer comme des sauveurs. » Madeleine sourit. « Bien sûr que non. Nous marcherons simplement narrer notre vue, écouter les soucis, et suggérer notre aide à ceux qui le souhaitent. La voyance mahe ne s’impose jamais, elle se présente. Si le ville désire découvrir la tarologie gratuite sans avoir à payer, nous pourrons entrainer des volontaires garde-meubles. Sinon, nous nous retirerons, en ayant orné une petite fruit réfléchi. » Les époque qui suivirent s’organisèrent spécialisés sur ce départ. On ciblé Anne pour son sensation de l’écoute, un autre volontaire pour ses connaissances en concorde, et un tierce pour son habileté avec des runes et du atout. Ensemble, ils préparèrent un défiant toute concurrence chargement : plusieurs cartes, un jeu de runes gravées manuellement, un registre répétant l’histoire de la édifice, et surtout l’esprit qui l’animait depuis tant de mois. L’idée n’était pas de bander un halle miraculeux, mais de prouver l’efficacité pauvre d’une aide attentif. Quand l’aube du poste central de triage arriva, la abri vibrait d’une animation mêlée d’inquiétude. Les partants reçurent des baisers, des second, et même des provisions. 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